5.13.2013

Ca s'en va ...


Au début je voulais juste mettre tous mes articles en "suspend", mais j'ai fais une mauvaise manipulation, je les ai tous supprimés... Deux ans de plaisir sur MyBubbleTea effacés en deux secondes... Mais c'est surement un bon hasard... Je vais arrêter ce blog, et je n'aurais jamais l'occasion de me retourner puisque la (mal)chance fait qu'aucune trace n'est resté...

Je suis trop curieuse, passionnée et optimiste pour m’arrêter d'écrire et de partager, avec ceux et celles à qui ça plaisait, je vais donc recréer un blog, un peu plus tard, et si vous voulez connaitre son adresse si il éclot un jour, je vous invite à me laisser vos mails sous cet article, car croyez moi, je n'ai aucun don en informatique mais jamais plus je ne me ferais avoir quand à la sécurité de tenir un blog...

Je suis navrée et si triste de perdre mes bons moments avec vous à cause de mauvais instants plus récents... La loi des plus fort n'est pas un mythe, la force se mesure en colère de nos jours, et non en volonté...

Vous allez penser, un blog de moins, ce n'est pas la mort sur cette terre, je suis juste une grande nostalgique, toujours un peu mélancolique et qui avait pour plaisir de se réveiller  de photographier et d'aimer le partage d'idées et d'images...

En attendant vos nouvelles, je vous laisse sur de jolis mots...

Je sais que c'était lui.
Y'en aura sûrement jamais d'autres que je vais aimer autant, mais c'est pas grave...
J'assume.
Je sais que ça arrive généralement tard dans la vie des gens de rencontrer l'âme soeur,
Mais moi c'est plat, c'est là, à 25 ans,
C'est même pas une question de baisage, j'm'en fous de baiser, c'est pas ça le principal,
L'important c'est de se réveiller avec quelqu'un.
C'est de dormir en cuillère,
C'est ça l'important la cuillère,
Savoir qu'si y'a un méchant qui débarque, y'a quelqu'un.
C'est une métaphore, y'a jamais de méchant qui débarque.
Tu te réveille avec le vent, pis tu sens le ventre chaud de la personne que t'aime qui respire dans le creux de ton dos,
C'est ça, la cuillère.

Les amours imaginaires (X. Dolan)